Ce cèpe est le premier dans l’ordre d’arrivée calendaire du genre sans en être le plus goûteux. C’est aussi notre premier trouvé cette année et premier mangé (bien cuit et assaisonné) avec la russule évoquée dans l’article précédent.
Fidèle à la station que connaît Marie-Christiane (le prénom n’a pas été changé) ce Boletus aestivalis bien nommé Cèpe d’été car se rencontrant aussi au printemps… était tout seul ce 9 mai.
L’occasion de le retourner devant l’objectif macro pour en souligner le port, les pores serrées, le réseau bien marqué (cliquez sur la photo pour zoomer le maillage du pied). Pas de liseré blanc au bord du chapeau caractéristique du Boletus edulis. Il faudra attendre encore un peu pour que le Cèpe de Bordeaux n’apparaisse à Gradignan cité de la métropole bordelaise. Contentons nous pour l’instant du thermophile Cèpe d’été qui fut apprécié hier lors d’une dégustation en début d’un repas familial. Le premier!
M.P.
je trouve que le cèpe d’été a un chapeau un peu bosselé, martelé et un goût plus sucré que le cèpe de bordeaux.
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